Imigrer politique
France je te quitte. Non pas pour une autre ; mais pour ce que tu es. Je suis né sur ta terre un jour de 1970. Une époque ou beaucoup de systèmes sociaux ce sont mis en place. Une évolution énorme pour un pays qui veut s'occuper de sont peuple. Les sans travail, les retraiter, l'aide au soins pour tous, le système éducatif et tant d'autres choses. Tous les exclus doivent y trouver leurs comptes... ces atouts pour ce pays sont malheureusement devenu de plus en plus fragile, par leur principe de fonctionnement, mais aussi faute a la nouvelle génération et certain immigrants qui n'en a pas compris la véritable utilité et y on simplement vue un eldorado. Je les comprends. Ces systèmes de ta France, sont a l'heure actuelle, un énorme désavantage pour toute personne voulant travailler sans être assister. Mais enfin !! Travailler comme un forcené toute une journée pour te donner la moitié de ma pitance ! Dure comme peine a perpette. Et si j'ai pas envie de contribuer a ces théories ?? Je fais comment ? Il y a un moment ou sa fâche !! Ca doit être ce que tu appel, l'Egalité. Trouve t'on aujourd'hui une terre d'égalité ? Je ne suis pas sur, mais chez toi je me sentais plutôt en bas de « l'échelle » et de ma « caste » on évolue difficilement. et la Liberté ? Le bien le plus précieux. J'ai voulus fabriquer ma maison dans les arbres... vivre en péniche pour naviguer sur tes eaux intérieur... voyager en fourgons-home profitant de tes superbes régions très varier. !! Et si je veux chasser et pêcher pour me nourrir moi, et que l’on ne m’impose pas la barquette de viande artificielle du supermarché. Quête première de tout être vivant. Il y a bien longtemps que l’on est passer a, comment se procurer l’argent pour … Trop de règles, de lois mon empêché de vivre mes rêves. (Et mon parfois condamné) La seule liberté que tu m’es donné sur ta terre, c'est mon passeport, c'est une chance dont je compte profiter pleinement Quand a la Fraternité, tu vois bien qu'entre toi en moi il n'y a pas d'entente possible, et crois moi, j'ai essayé !! Tu ne croyais pas que j'allais te donner d’autres enfants. Pour que, comme a moi tu leurs imposent le travail forcé des le plus jeune age. Tu m’a obligé tous les jours, d’aller a l’école ou je n’avais rien a faire, les résultats et mon attitude le montrais, tu m’a juger sur des résultats de sport, chimie, musique, histoire, géographie. Dont je me foutais éperdument. Je voulais être dessinateur, mais a l’époque tu avais besoin de main d’œuvre dans le bâtiment... Et maintenant tu viens apporter cette bêtise en afrique. Sur des classe de 25 élèves peut être 5 seulement on leur place sur les bancs. Les autres serais sûrement mieux a apprendre le métier de leur père. Sur ce domaine et bien d’autre tu dit savoir ce qui est bien et l’impose ailleurs. Je n'oublie pas les bon moment passer ensemble, lorsque l'on se retrouvais seul, toi et moi, j’ai aimer me promener dans tes superbe paysage. Je ne connais que trois solutions a mon problème. Me battre contre un système établi, contre une majorité de personnes qui ne pense comme moi, comme j'en est vu y passer leurs existence, dans une colère pas toujours silencieuse. Je n’ai jamais essayé. Je n'aime pas me battre. Je n'aurais peut être pas fait mieux. Ceux qui te contrôlent au gouvernement me montre que vieillesse ne rime pas forcement avec sagesse Essayer de vivre en m'accommodant au mieux de tes règles, tes lois qui font de nous des hors la loi permanent. Même ceux qui décrètent ces lois les transgressent. J'ai bien tenter mais un jour mon cœur ma crier qu'il n'était pas heureux. Et comme il a tendance a prendre le dessus sur la raison, il ma donner la troisième solution. Si tu n’es pas bien ici, va voir ailleurs Je sais maintenant que j'ai trouvé mieux, pour moi. La ou je suis je vie, je profite a chaque instant de la vie, je suis en osmose avec moi même. Mon cœur avait donc raison. Depuis que je l'écoute ma vie est mieux que ce que je n'espérai. J’ai même le temps de te crier ma colère. . Adieu France, C’est pas nous qui marchons pas droit, c’est le monde qui vas de travers !